Une quiche nommée loally

Je vais vous raconter une histoire, au sujet d’un endroit fameusement connu sous le nom de caillou.

Un roi tentait de régner et comme tout roi qui se « respecte », virevoltait dans des bals organisés, et parsemait sa semence au nombre de gueuses peu fortunées.

Enfin, le despote et son épouse allaient donner naissance aux premiers héritiers LEGOS.

Mais dans le chapitre que je vais vous conter sur le caillou, l’affaire est prodigieusement plus cuisante que cette dernière.

Intro !

Comme un ouragan 
Qui passait sur moi, 
L'amour a tout fait foiré. 
T'es restée, envie 
Et l'accent d'furie 
Qu'on a envie d’te taper. 
Comme un ouragan, 
La tempête en moi 
A déclenché le procès, 
Allumé le vice. 
C'est un incendie 
Que tu ne fais qu’attiser. 

(Je n’avais pas plus nigaud. Si vous avez des idées ; le livre d’or est toujours ouvert !)

Alors que le chef de la cavalerie des Infantiles se repliait dans ses contrées lointaines et allait ainsi profiter d’une retraite inévitable due à la récente et aussi célèbre que sanguinaire Bataille de Grâce, il fallait évidemment le remplacer.

Jo d’Arc, fidèle du chef des Armées Perveval Blini’s depuis toujours, proposa de diriger la cavalerie des infantiles, mais Blini’s avait d’autres plans plus puérils…

Eh oui, on ne nommait plus la toute fraîchement anoblie Comtesse de Gayet ; jeune et éternelle gourgandine, et sordide maîtresse de Perceval Blini’s.

Afin que personne ne puisse justifier d’une défaite de la dite comtesse face à Jo d’Arc, celui-ci organisa un Bingo. Jo d’Arc devait alors se confronter à cette grue, en s’adonnant à un vulgaire jeu de hasard, et tous connaissaient la légende… Jo d’Arc manquait d’aubaine !

On avait, par exemple brûlé vive son arrière-arrière-arrière-grand-mère parce qu’elle criait entendre des voix, alors qu’elle était effectivement schizophrène.

Extraordinairement, un jury composé de turlupins et bagnards, décidait en sus de la décision de votes par bulletins secrets. Et encore plus curieusement, ils avaient aveuglément appuyé l’engagement de la comtesse de Gayet, à la tête de la cavalerie infantile. Elle aurait écrasé l’ennemi au cours de la bataille de Grâce, combattu auprès de son père jusqu’au décès de celui-ci (même s’il est désormais prouvé que son aïeul n’aurait combattu qu’une seule fois) et décapité de ses deux mains un tigre sauvage. On racontait même, qu’elle aurait conduit son peuple au sommet du Mont Sinaï et reçût les 10 commandements.

Jo d’Arc continuera donc à se battre, du côté de Perceval Blini’s et aux côtés de la Comptesse Gènevote de Gayet.

Notre guerrière n’allait pas en rester là. Elle fît appel au roi, mais il n’en avait que faire. Il pensait encore de toute façon, que son cerveau se situait entre ses cuisses, que le vin était le sang de Jésus et qu’en boire le conduirait vers la gloire et surtout la popularité.

Les soldats de la cavalerie d’infantiles sombraient les uns après les autres, alors que Gènevote paradait dans les couloirs de la citadelle, (ne se renvoyant d’elle que l’image de la Troubadour) et s’attelant à provoquer tout infidèle à sa faveur ou en les menaçant de les renvoyer au cachot ou de leur faire vivre le même sort que Jo d’Arc.

Jo d’Arc saisît alors le tribunal de police afin d’éventuellement organiser un nouveau bingo avec des jurys et candidats compétents et humbles.

Malheureusement, le juge était un fidèle acteur et frère de la même secte que Perceval Blini’s et la Comtesse De Gayet se rendit par la suite, justement et tristement populaire pour avoir causé la mort de la totalité de sa cavalerie.

Jo d’Arc s’exila pour revenir 30 années plus tard par un coup d’état bref et efficace.

Jo d’Arc s’asseyait sur les principes ôtés et justice prima sur les bagatelles du pouvoir en place depuis des siècles.